A MES AMIS

Pardonnez-moi !!!

Pardonnez-moi  de n’être pas celui que vous voudriez que je sois,

Pardonnez-moi  d’entrer dans votre vie comme un invité qu’on n’attend pas,

Pardonnez-moi d’oser les mots qui font mal, montrer vos tombaux, déchirer les voile de vos cœurs.

Pardonnez-moi  de jouer la vérité pure, la transparence,

Oui, Pardonnez-moi  d’oser briser les tables des lois de vos silences ;

Pardonnez-moi  de vous aimer assez pour ne pas rester sans rien faire, vous regarder ramper dans la poussière.

Pardonnez-moi, Pardonnez-moi de parler de la vie après  cette vie.

Pardonnez-moi d’oser affirmer qu’on n’ira pas tous au paradis,

Pardonnez-moi de perser vos secrets, de poser les questions à ne pas poser.

Pardonnez-moi de vous bousculer dans vos habitudes,

Pardonnez-moi  de douter, de renverser vos certitudes.

Pardonnez-moi  de vous aimer assez pour rester sans rien faire, vous regarder revenir à la poussière.

Pardonnez-moi d’oser perser les murs de vos prisons,

Pardonnez-moi  de regarder plus loin et plus profond.

Pardonnez-moi de lancer les pavés dans la marre.

Pardonnez-moi d’insister avent qu’il ne soit trop tard.

Pardonnez-moi de parler au nom de la vérité pure et dure.

Pardonnez-moi  la confusion semée dans vos pensées.

Pardonnez-moi de faire la guerre à ce qui vous détruit, je ne peux pas rester sans rien faire quand se joue votre vie, c’est plus fort que moi. Pardonnez-moi  ; Pardonnez-moi ; Pardonnez-moi ; Pardonnez-moi. Je vous en-suplie ! ! !

 Pardonnez-moi, oui Pardonnez-moi.

À cause de l’excellence de la connaissance de Jésus-Christ mon  frère et Seigneur.

Afin de gagner Christ, pour lequel j’ai renoncé à tout, et je les regarde comme de la boue. Ce n’est pas que j’aie déjà remporté le prix, ou que j’aie déjà atteint la perfection; mais je cours, pour tâcher de le saisir, puisque moi aussi j’ai été saisi par Jésus-Christ.  

Frères, je ne pense pas l’avoir saisi; mais je fais une chose: oubliant ce qui est en arrière et me portant vers ce qui est en avant,  je cours vers le but, pour remporter le prix de la vocation céleste de Dieu en Jésus-Christ.

Ainsi écrit l’APÔTRE des non-Juifs dans sa lettre aux Philippiens 3 « Nous tous donc qui sommes parfaits, ayons cette même pensée; et si vous êtes en quelque point d’un autre avis, Dieu vous éclairera aussi là-dessus.  Seulement, au point où nous sommes parvenus, marchons d’un même pas.   Soyez tous mes imitateurs, frères, et portez les regards sur ceux qui marchent selon le modèle que vous avez en nous.  Car il en est plusieurs qui marchent en ennemis de la croix de Christ, je vous en ai souvent parlé, et j’en parle maintenant encore en pleurant.  Leur fin sera la perdition; ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte, ils ne pensent qu’aux choses de la terre.  Mais notre cité à nous est dans les cieux, d’où nous attendons aussi comme Sauveur le Seigneur Jésus-Christ, qui transformera le corps de notre humiliation, en le rendant semblable au corps de sa gloire, par le pouvoir qu’il a de s’assujettir toutes choses.  C’est pourquoi, mes bien-aimés, et très chers frères, vous qui êtes ma joie et ma couronne, demeurez ainsi fermes dans le Seigneur, mes bien-aimés!

Et mon Dieu pourvoira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Jésus-Christ.

Au nom de notre frère et Seigneur Jésus-Christ de Nazareth  soit à notre Dieu et Père toutes la gloire aux siècles des siècles! Alléluia,  Amen!

Galates 1:8Mais, quand nous-mêmes, quand un ange du ciel annoncerait un autre Evangile que celui que nous vous avons prêché, qu’il soit anathème!